Le paysan sait ce qu’il a à faire. Il entame son immense territoire sans se poser plus de questions qu’il ne faut pour actionner sa machine. Il n’a que ça à faire et aujourd’hui il ne sait faire que cela, labourer cet immense territoire. Je suis comme lui, le soc de mon stylo planté dans le blanc de la page. Un jour nous resterons assis côte à côte devant la petitesse de quelque chose et aurons oublié le ciel qui éclaira notre vie.